Le graffiti règne sur les murs de Buenos Aires. Au point que des tours guidés sont organisés et que les autorités encouragent les oeuvres urbaines. Réprimé pendant la dictature militaire (1976-1983), toujours illégal mais vigoureux pendant et après la crise économique et sociale de 2001, le graffiti fait aujourd’hui partie du décor. Partout, dans cette vaste capitale, de grandes fresques, des oeuvres murales couvrent façades, appartements, devantures... A Parlemo, quartier le plus branché, les commerçants et designers invitent les grands nom du street art mondial à signer leurs murs. On y trouve tous les styles, de l’activisme graphique et la dénonciation politique à la décoration esthétique. La visite guidée, faite par des gens passionnés et bien documentés, permet d’évoluer dans l’histoire récente tumultueuse et la géographie chaotique de Buenos Aires.
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